mardi 18 août 2020

FAURE GNASSINGBÉ DÉTONE :



« Cantique des degrés. De Salomon. Si l'Éternel ne bâtit la maison, Ceux qui la bâtissent travaillent en vain; Si l'Éternel ne garde la ville, Celui qui la garde veille en vain. En vain vous levez-vous matin, vous couchez-vous tard, Et mangez-vous le pain de douleur; Il en donne autant à ses bien-aimés pendant leur sommeil. Voici, des fils sont un héritage de l'Éternel, Le fruit des entrailles est une récompense. Comme les flèches dans la main d'un guerrier, Ainsi sont les fils de la jeunesse. Heureux l'homme qui en a rempli son carquois! Ils ne seront pas confus, Quand ils parleront avec des ennemis à la porte. »

(Psaumes chapitre 127, versets 1 à 5)

 Je voyage au Gabon souvent pour remplacer
Ali Bongo mourant devant les francs-maçons :
Flibustier, voix du Gard, j’opprime sans façon
Les Togolais épris de liberté, lacets

Du colon rondouillet ; dictateur cétacé,
Je crois que j’ai gagné la guerre, limaçon
Tournant sur place, mon fût vidé, ma leçon
Jamais apprise, ma tyrannie, panacée,

Un couteau à double tranchant, me persécute,
Ma prostitution vermoulue m’exécute
Comme un condamné à mort, traître rétrograde,

Livrant notre Afrique aux bourreaux, faisant l’agneau
Devant nous, loup-garou, démontant les signaux
Du bonheur de mes sœurs et frères qu’on dégrade !

         Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
         19 août 2020.



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