vendredi 24 octobre 2008

À ÉHUD DZIDZOGBÉ DÉDÉ


Ta naissance miraculeuse édifie
Le monde entier. Tes parents, sublimant
Leurs douleurs, t’ont placée discrètement devant
Le Seigneur pour relever les plus grands défis.

Ta lumière permanente luit dans nos vies.
Pour porter ton flambeau, ton père, vétéran,
T’a cachée au creux du rocher divin. Pendant
Les veillées multiples, sa foi s’est raffermie.

Ta mère, fidèle au partage, t’a beaucoup
Pleurée. Tu es née, Dédé, malgré les grands coups
Que nous avons reçus. Aujourd’hui, ton carnet

Est rempli d’éloges. Le Ciel t’a moulée
Comme un vase d’honneur. Dédé, dans la foulée,
N’oublie pas les bonnes paroles du sonnet !

Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
26 février 2008 – Lomé.

2 commentaires:

line a dit…

mon cher Massow,
ce poème est l'un des plus émouvants que j'ai lu.je suis fière de toi.

Ananivi Hosé Koudouovoh a dit…

Ma fille aînée,

Tu es de nos jours la meilleure chose qui m'est arrivée. Tu es le fruit de ma foi en Christ et l'un des produits de mon amour pour Rachel, ta mère. Dans ce poème, écrit le jour de l'anniversaire de la naissance de Victor Hugo, j'ai mis toute mon affection pour toi.

Ton père.