lundi 14 décembre 2015

CHANT DU COQ

J’ai sifflé mon mari aux alentours des bars Avecque des gens peu scrupuleux, cachetant Mal mon mariage, sans remords, abattant Énergiquement mon époux livré clébard Aux bourreaux. J’ai sifflé mon mari sans bobards Aux abords des fêtes multiples, décomptant Un humain tempérant, sans alcool, mécontent De désirer une jument due aux Lombards. J’ai promis sans cesse de ne plus pervertir Les voies d’un chantre de la justice, vêtir Un habit neuf, tirant au clair ma révérence. J’ai promis sans cesse de pallier cette action Nocive à sa santé, accrochée au vin, pion Méchant, perche asséchée saignant la déférence ! Ananivi Hosé KOUDOUOVOH 31 janvier 2014 – Lomé.

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