mercredi 11 septembre 2013

VILLANELLE DE VINOLIA

Je n’ai jamais été aussi fasciné par Une jeune fille. Je n’ai jamais plaidé Notre cause avecque autant d’ardeur. J’ai plaidé Pour mon fils à genoux parce que tes remparts Nous protégeaient bien de la rouille. Quand tu pars Pour l’école, tu me mets à l’abri. Aidés Par ton élégance, tes traits fins m’ont cédé Le trésor de ta vie sans aucun bruit. Compare Ma joie de t’aimer au chagrin d’amour fuyant Qui t’environne par moments. Ce ciel bruyant, Couvert de nuages bleus annonce une pluie Abondante, faite de pureté, d’étrange Douceur, de bonheur en chœur. Dans toutes nos granges, Nous allons célébrer le soleil qui nous luit. Ananivi Hosé KOUDOUOVOH 19 janvier 2013 – Lomé.

2 commentaires:

Unknown a dit…

c'est le poème qui ma beaucoup touché

Ananivi Hosé Koudouovoh a dit…

Chère Vinolia,

Il y a deux ans déjà que j'ai écrit ton poème avec la puissance du sarment attaché au cep.