lundi 24 juin 2019

QUAND LE LAIT FRELATÉ S’ÉTIOLE !





J’ai laissé Faure sur le trône pour finir
Son autodestruction. Aveugle et orgueilleux,
Il a refusé de me baiser les pieds, pieux,
Craignant d’honorer Dieu. Je veux redéfinir

Son sort mais il choisit l’entêtement. Finir
Comme son père au feu ? Sans crypte ? Merveilleux ?
J’ai laissé Faure sur le trône pour vielleux
Et vièle, précédant sa chute, pour unir

Véritablement les Togolais misérables,
Rongés par les tyrans, ces bourreaux exécrables
Téléguidés par le club de Paris. Ayant

Épuisé les recours du rachat, je le pends
Au poteau de Hamann doucement. Tout dépend
De sa descente aux enfers, sujet effrayant !

Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
29 mars 2015 – Lomé.


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