Ton regard brillant glorifie tes origines.
Tes parents, fidèles à tous leurs vœux nuptiaux,
T’ont engendré au déclin des grands idéaux.
L’aquilon souffreteux cacheta tes gésines.
Après les portes maternelles, tes rétines
Illustres, miroir ancestral, brisent préaux,
Orchestrent ta posture au chœur doux des moineaux.
Le frisson de l’ombre crie les bontés divines.
Vérité ! Liberté ! Ô douce éternité !
Accueillez le nouveau grand Roi, Giosiah, cité
En pompe par les Rois, les Chroniques/prophètes !
Famille, Eglise, Société, ô éduquez
La lignée célèbre, protégez, consolez
Le fils auguste de ces amoureux en fête !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
21 décembre 2006 – Lomé
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