J’ai
écrit à Faure Gnassingbé une lettre
Ouverte,
rappelant au dauphin hypocrite
Les
outrages de son pouvoir qui périclite.
Moinillon,
ce faucon m’a déplumé, mon être
Entier
à sa merci. Dictateur, sans paraître
Mesquin,
tes godillots m’ont battu ; sybarite,
Tes
dames et barons sifflent mes mérites…
J’ai
ordonné sciemment la libération, maître
Décevant,
de tous les détenus, resserrant
Mon
combat de pointe sur l’ogre, cogérant
La
lutte du peuple togolais avec nos
Confrères
en exil, étouffés par le vent
D’Ouessant,
les accords bidon, les abrivents
Du
tyran, dérivés moelleux du haut fourneau.
Ananivi
Hosé KOUDOUOVOH
31
octobre 2018 – Lomé.
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