J’ai
perdu mon frère bien-aimé qui couvrait
La
dédicace de mes recueils de poèmes
De
ses atours et mes émissions de lexèmes
De
leur lustre lorsque j’étais jeune : sa vraie
Passion
du rocher des âges se découvrait
Dans
l’élan de l’enfant de chœur ô qui parsème
L’adulte
ambivalent confronté aux dilemmes
D’un
continent à la mer, du Togo ivraie
Qui
ne laissent pas le blé germer comme il faut ;
J’ai
perdu le rayon lumineux de nos faux
Beaux
jours dont le rang qui s’illustre dans le monde
Lavait
l’opprobre de notre famille entée
Sur
la mort de façon comique ; j’ai planté
Ton
palmier à huile sur des hauteurs immondes !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
3 mars 2021 – Paris.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire