Tu
es mort avec ton papa en défendant
Votre
pays contre ses agresseurs. Quatrième
Fils
du guide de la révolution, tu aimes
La
Libye au point de mourir en défendant
Son
unité. Tu es caché par les perdants
Dans
le désert libyen car ta dépouille même
Fait
peur. Ton corps était bien exposé au même
Endroit
que celui de ton père. Prétendant
S’égayer
de votre mort, beaucoup d’habitants
Ont
profané, honteux, leur sanctuaire. Tant
Que
le soleil va se lever à l’est, leurs crimes
Seront
punis. Ton grand rôle dans votre armée
Restera
à jamais gravé dans le bois et
Tes
armes pareilles aux lamelles de l’escrime.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
13 décembre 2011 – Lomé.
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