Ton
transfert à la cour pénale rapetisse
Les
Négro-africains victimes du combat
À
arme inégale, déclenché par le bas-
Relief
parisien. Ton double quinquennat tisse
Une
relation de choix avec nous. Tu hisses
Notre
drapeau très haut et de ce branle-bas
De
combat, tu sors haut les mains. Ce faux débat
Amuse
les juges. Devant le précipice
Dans
lequel Paris les charge de te pousser,
Une
nuée va te couvrir et repousser
Le
complot du Louvre. Quant à nos scélérats
D’Abidjan,
le jour vient où notre rédempteur
Les
affaissera au pied de sa croix. Préteurs
Habiles,
prononcez un verdict de prélat !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
30 novembre 2011 – Lomé.
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