« En
ce jour-là, J’appellerai mon serviteur Éliakim, fils de Hilkija ;
Je le
revêtirai de ta tunique, je le ceindrai de ta ceinture, Et je remettrai ton
pouvoir entre ses mains, Il sera un père pour les habitants de Jérusalem Et
pour la maison de Juda
Je mettrai
sur son épaule la clé de la maison de David : Quand il ouvrira, nul ne
fermera ; Quand il fermera, nul n’ouvrira.
Je
l’enfoncerai comme un clou dans un lieu sûr, Et il sera un siège de gloire pour
la maison de son père. »
(Ésaïe 22 : 20-23)
Pour
accomplir les temps, délivrer le Togo
Par
la restauration du chant. Mon larigot
Entonne
une chanson épique : désarmé,
L’ennemi
se débat vainement. J’ai armé
Mon
bateau de guerre dans la région, cargo
Transportant
mon bouclier, mon épée… Mon tango,
Réservé
pour l’avent, m’entraîne à réarmer
Mon
char de combat sans perdre de vue mon rang.
Roi
des armées, conduit par l’Esprit, cormoran,
Je
migre vers le sud, en réhabilitant
Les
pays désolés, fredonnant le refrain
Céleste,
convaincu de défendre sans frein
Les
opprimés, rendant la tiare aux militants.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
9 décembre 2017 – Lomé.
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