J’ai
marqué mon temps, en dorlotant le rocher
De
scandale dans la joie de mon maître, flûte
Enchantée
jouant un intermezzo en ut
Majeur,
versant toujours des larmes du clocher
Au
tintamarre de bidon près du nocher
Parisien,
aux prises avec l’œil des culbutes,
L’euphorie
des soirées de mérous qui me butent
Toujours
comme un enfant gâté pour défricher
Un
champ nouveau dans le leurre des mots, bouquet
D’hibiscus
cueilli sans accroc près du Touquet,
Filament
mouillé d’un campanile ineffable,
Lumière
luisante d’une fratrie chartreuse,
Dégriffée
par l’écho sonore des vitreuses,
Auréole
des saints, élucidant les fables.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
21 juin 2019.
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