J’ai
supplié mon frère de ne plus rien écrire
Sur
la politique : ni éloge ni blâme !
Quand
il m’a dénoncé, j’ai tissé une trame
Pour
le priver de la liberté de transcrire
Cette
intrigue. Ô j’ai réagi sans décrire
Mon
égocentrisme. J’ai agi comme une femme
Fatale,
honteuse de son avance qui crame.
J’ai
supplié mon frère de ne plus rien écrire
Sur
la politique : ni poème d’amour
Ni
autobiographie ! J’ai voulu sur la tour
De
Babel défaire sa toile recherchée.
J’ai
supplié mon frère de ne plus rien écrire
Sur
la politique pour l’enterrer, proscrire
Sa
poésie qui me dérange, sans trancher.
Ananivi
Hosé KOUDOUOVOH
25
août 2016 – Lomé.
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