Le 22 juillet 2013, j’ai
annoncé ouvertement dans mon blog Tempo di Africa la chute de Faure Gnassingbé,
le président du Togo. Aujourd’hui, le temps est arrivé de sceller cette
promesse de Dieu en vue de la libération du peuple togolais.
Le 19 août 2017, ce régime
dictatorial a réprimé sauvagement les manifestations pacifiques du Parti
National Panafricain (PNP), massacrant encore des milliers de compatriotes,
tuant froidement plusieurs manifestants qui exprimaient leur ras-le-bol. Face à
l’escalade de la violence, la désobéissance civile s’est durcie et se poursuit
jusqu’à la victoire finale.
Le ministre de la sécurité et
de la protection civile, le colonel Damehame Yark a voulu étendre la répression
sanglante, en faisant appel à l’armée de l’air qui a refusé d’utiliser des
hélicoptères de combat pour exterminer nos populations.
Le président du PNP, Tikpi
Salifou Atchadam, a demandé à l’opposition togolaise d’unir ses efforts pour
combattre ce pouvoir aux abois. Il a tendu la main à Jean-Pierre Fabre, le chef
de file de l’opposition, afin d’achever la délivrance du Togo.
Pour atteindre cet objectif,
Dieu m’a recommandé d’oindre Paul Étsè Médjaké roi à la place de Faure
Gnassingbé qu’il a rejeté. C’est ce que j’ai fait le 10 août 2017, avant le
début des manifestations.
Je demande solennellement au
peuple togolais de se joindre à son nouveau roi pour servir notre pays dans
l’unité et la paix. Je préviens le monde entier que toutes représailles contre
moi ou l’oint de l’Éternel sont vouées à l’échec.
Dans quelques heures, le
nouveau gouvernement sera connu et sa majesté Paul Étsè Médjaké procédéra à des
nominations. Que les ambassadeurs accrédités au Togo, les étrangers vivant dans
notre pays, les Togolais de la diaspora et la communauté internationale soient
sans crainte, car nous contrôlons la situation.
Vive le Togo !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
22 août 2017 – Lomé.
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