J’ai
frustré mon frère au moment de sa démarche
Éditoriale,
sans vergogne, faulx craignant
Le
dauphin insidieux, potache trépignant
Le
poète voyant. J’ai exalté sa marche
Vers
la gloire en donnant un coup injuste à l’arche
De
Noé. Chenapan, j’ai voulu, piétinant
Ce
barde togolais, protéger l’humiliant
Roitelet
d’Abidjan et consorts. Notre marche
Enténébrée
conduit l’aède au firmament.
Porche
magistral, mon aversion, constamment,
A
galvanisé le prophète des nations
Qui
chante gaiement la chute de Babylone.
Faux
dévot, scélérat président d’un pylône,
J’ai
perdu ma tiare, ma détermination…
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
7 janvier 2018 – Lomé.
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