J’efface
la dette des États, enchaînés
Par
tous les financiers internationaux,
Esclaves
de Mammon, libérant le moineau,
L’aigle
sans trompette, le typhon déchaîné
Sur
mes anciens patrons cupides, surmenés
À
l’annonce de la nouvelle, nationaux
Soulagés
justement, déployant les tonneaux
Girondins
pour fêter le jubilé, aînée
Des
orphelins, maudits par les méchants réseaux,
Trafiquant
l’argent, l’or comme un intermezzo,
Heureux
d’assujettir toute la terre, sans
Vergogne,
rabâchant toujours les intérêts
Aux
oreilles de nos dirigeants, en forêt
Étrange,
balcon du peuple reconnaissant !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
25 septembre 2019 – Cergy.
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