Je
prépare toujours la pâte, en souriant
Avecque
la candeur d’un enfant, mon soutien-
Gorge
noué comme autrefois, aux temps anciens,
Près
de notre case en terre cuite, riant
Du
confort des guignols, prisonniers charriant
La
dèche en Afrique. Je respecte l’Ancien
Des
jours m’apaisant sans relâche, qui maintient
Par
amour mon regard vers le ciel, variant
Ma
grâce brillamment, défendant mon bifteck,
Célébrant
mes noces dans plusieurs médiathèques
Modernes, m’emparant de mon trésor royal,
Investi
pour les miens, les proscrits, antichambre
De
la félicité. Beaucoup de pages chambrent
Mon
chalet, démembrant ma tante déloyale !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
9 septembre 2019 – Cergy.
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