Je prononce un discours devant le parlement
Européen, changeant de disque après les frappes
En Syrie. J’ai chanté le refrain des satrapes,
Conscient des manquements du Louvre, roulement
Des places boursières. J’ai porté amplement
La veste des vainqueurs, brisant le handicap
De ma forteresse. Châtelain près du cap,
Je construis Bruxelles sur l’euro, mollement,
Invitant mes hôtes de marque à entreprendre
La construction avec moi. Noyer fécond, rendre
La tiare à l’Occident me préoccupe tant.
J’ai franchi, bras branlants, le Rubicon, certain
Du dénouement heureux. Je lis le libertin
Fougueux royalement, ô faisant l’impotent !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
19 mai 2018 – Lomé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire