J’ai failli pleurer en voyant ta larme amère
Couler par amour pour tes parents. Jeune fille
Surdouée, tu es très sensible à ta famille
Qui s’épanouit par le sacrifice. Mère
Tendre, tu reconnais les valeurs. Les chimères
Du collège ne te poursuivent pas. En vrille
De la vigne, montre le chemin sans béquilles
À tes sœurs, heureuse de briser les commères
Et leurs complices sur place. Quand tu charries
La sanctification et le génie, paris
Gagnés, ton bonheur et ton influence à
large
Spectre vont conjuguer pour toi le mot paisible
D’une éternité de gloire, près du visible
Seigneur de ton esprit ô qui t’emporte au
large !
Ananivi Hosé
KOUDOUOVOH
16 mars
2013 – Lomé.
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