J’ai sifflé mon mari aux alentours des bars
Avecque des gens peu scrupuleux, cachetant
Mal mon mariage, sans remords, abattant
Énergiquement mon époux livré clébard
Aux bourreaux. J’ai sifflé mon mari sans bobards
Aux abords des fêtes multiples, décomptant
Un humain tempérant, sans alcool, mécontent
De désirer une jument due aux Lombards.
J’ai promis sans cesse de ne plus pervertir
Les voies d’un chantre de la justice, vêtir
Un habit neuf, tirant au clair ma révérence.
J’ai promis sans cesse de pallier cette action
Nocive à sa santé, accrochée au vin, pion
Méchant, perche asséchée saignant la déférence !
Ananivi Hosé
KOUDOUOVOH
31 janvier
2014 – Lomé.
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