Le Togo gémit sous le poids de vos fardeaux.
Vous brisez souvent ses espoirs, annihilez
Ses forces. Pour votre confort, vous compilez
Nos dettes, fracturant nos leaders. Vos cadeaux
Empoisonnés traitent avec vous coups de judo,
Désaffection, perte d’intérêt ! Vous pilez
Dans le mortier femme et enfant, désopilez
Toute une nation. Vous divisez des rondeaux
Pour avoir des rakus et votre main de fer
Fragilise tout le monde. Dépôt offert,
Notre jeunesse dit non au fouet, quitte
À lever boucliers. Vos discours creux nous languissent
Et votre recherche du bien-être, calice
En main, fusil au dos, aujourd’hui, nous acquitte.
Ananivi Hosé
KOUDOUOVOH
17 juillet
2013 – Lomé.
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