J’ai
toujours vénéré Père de la nation
Comme
aucun autre sans tomber dans l’hérésie.
J’ai
toujours vénéré Père de la nation
Comme
un aîné, digne de louange. Pythie,
Mes
prédécesseurs l’ont hué sans passion.
Je
me suis attaché à son idéal, pis
Devant
ses détracteurs nombreux comme pions.
J’ai
déjà honoré sa mémoire, roupie
En
transe pour sceller une nouvelle étape
De
notre histoire. J’ai voulu redorer grappe
Et
vignoble avecque le sang noir circulant
Dans
mes veines. J’ai pris la peine de vanter
Ses
mérites, cherchant à faire mieux. Enté
Sur
l’Esprit de vie, j’ai redressé son volant…
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
29 FÉVRIER
2016 – LOMÉ.
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