J’ai confié la tête de
l’union à l’État
Le plus malade, au nom de
la démocratie,
Montrant les limites d’un
système aplati
Par le Créateur. J’ai
confié ma chute au tas
D’immondices que j’ai
reprouvé, mon bêta
Mettant à nu ma loi
inique. Je pâtis
De ma folie, serrant les
poings. Je compatis
D’avance aux douleurs des
opprimés, ces fetas
Que j’ai foulées aux pieds
pour trafiquer l’euro.
J’ai confié mon déclin à un lézard, héros
Des finances, gérant sa
crise financière
Interminable avec les
miettes de Berlin,
Fatigué de porter la gale
des merlins
Étouffés par les flots du
procès fiduciaire.
Ananivi
Hosé KOUDOUOVOH
02
janvier 2014 – Lomé.
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