« Rentrez en vous-mêmes, examinez-vous, Nation sans pudeur, Avant
que le décret s'exécute Et que ce jour passe comme la balle, Avant que la
colère ardente de l'Éternel fonde sur vous, Avant que le jour de la colère de
l'Éternel fonde sur vous! Cherchez l'Éternel, vous tous, humbles du pays, Qui
pratiquez ses ordonnances! Recherchez la justice, recherchez l'humilité!
Peut-être serez-vous épargnés au jour de la colère de l'Éternel. Car Gaza sera
délaissée, Askalon sera réduite en désert, Asdod sera chassée en plein midi,
Ekron sera déracinée. Malheur aux habitants des côtes de la mer, à la nation
des Kéréthiens! L'Éternel a parlé contre toi, Canaan, pays des Philistins! Je
te détruirai, tu n'auras plus d'habitants. Les côtes de la mer seront des
pâturages, des demeures pour les bergers, Et des parcs pour les troupeaux. Ces
côtes seront pour les restes de la maison de Juda; C'est là qu'ils paîtront;
Ils reposeront le soir dans les maisons d'Askalon; Car l'Éternel, leur Dieu, ne
les oubliera pas, Et il ramènera leurs captifs. J'ai entendu les injures de
Moab Et les outrages des enfants d'Ammon, Quand ils insultaient mon peuple Et
s'élevaient avec arrogance contre ses frontières. C'est pourquoi, je suis
vivant! dit l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël, Moab sera comme Sodome, et
les enfants d'Ammon comme Gomorrhe, Un lieu couvert de ronces, une mine de sel,
un désert pour toujours; Le reste de mon peuple les pillera, Le reste de ma
nation les possédera. Cela leur arrivera pour leur orgueil, Parce qu'ils ont
insulté et traité avec arrogance Le peuple de l'Éternel des armées. L'Éternel
sera terrible contre eux, Car il anéantira tous les dieux de la terre; Et
chacun se prosternera devant lui dans son pays, Dans toutes les îles des
nations. Vous aussi, Éthiopiens, Vous serez frappés par mon épée. Il étendra sa
main sur le septentrion, Il détruira l'Assyrie, Et il fera de Ninive une
solitude, Une terre aride comme le désert. Des troupeaux se coucheront au
milieu d'elle, Des animaux de toute espèce; Le pélican et le hérisson
Habiteront parmi les chapiteaux de ses colonnes; Des cris retentiront aux
fenêtres; La dévastation sera sur le seuil, Car les lambris de cèdre seront
arrachés. Voilà donc cette ville joyeuse, Qui s'assied avec assurance, Et qui
dit en son cœur: Moi, et rien que moi! Eh quoi! elle est en ruines, C'est un
repaire pour les bêtes! Tous ceux qui passeront près d'elle Siffleront et
agiteront la main. »
(Sophonie chapitre 2, versets 1 à 15)
Je
paie le salaire des migrants noyés dans
La
Méditerranée, sans secours, tués par
Matteo
Salvini, orgueilleux, son départ
Du
gouvernement, un camouflet : regardant
Les
êtres humains sans compassion, défendant
Une
minorité perverse, ses remparts
Engloutissent
Rome, complice de ses parts
De
marché, célébrant ce renard, ce redent
Profané
par notre sacerdoce royal,
Cet
agitateur en cavale, déloyal
Ministre,
président d’un parti de racistes,
Attardés
comme lui, emmenant au chaos
La
grandeur romaine, s’écroulant, son KO
Relayé
partout, son mensonge de bassiste…
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
20 mai 2020.
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