Quand
j’ai perdu mon fils aîné, beaucoup de larmes
Ont
coulé de mes yeux. Je me suis isolé
Du
monde, refusant lors d’être consolé.
Deux
anges transpercent ma voûte : sans alarme,
Mon
cousin m’a rendu son témoignage. Charme
Avéré,
mon neveu, sans mot, m’a enrôlé
Dans
son armée. Ses bruits doux ont su cajoler
Ma
pauvre âme. Malheur, frustration, vacarme
Ont
failli m’engloutir. Mais la foi en mon Christ
M’a
protégé. Du Mont des Oliviers, mon triste
Sort
a été changé. Le Seigneur m’a donné
Deux
filles gracieuses qui m’enchantent toujours.
Leur
front intelligent luit comme un abat-jour
Et
mon bonheur est sans pareil. Tout m’est donné !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
20 septembre 2011 – Lomé.
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