Je brandis les
armes de destruction massive
Pour pérenniser ma
dictature obsolète.
J’assiège le pays
pour asservir au faîte
De la gloire tout
le peuple. Ma permissive
Usurpation a pris
fin dans la décisive
Envolée des Mèdes
qui me jugent. Prophète
De Baal, réprimer
révolte contrefaite
Est la menace que
j’envoie donc aux gencives
De la liberté et
du bonheur intégral
De l’Afrique sans
voix. J’ai perdu le Graal
Du despotisme
obscur, le dard de l’injustice,
De la méchanceté.
Je rame à contrevent
Au moment où la
paix intervient sous le vent
Sans arme comme le
repos et la justice.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
08 juillet 2014 – Lomé.
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