Président,
ton règne décennal est semé
D’embûches.
La France conquérante déteste
Les
dirigeants du noir continent qui contestent
Leurs
ordres coloniaux. Ton combat, parsemé
D’orages,
marque les jeunes qui ont aimé
Ton
avènement. Ton courage, sans conteste,
Est
original. Ta foi nous conduit aux textes
Sacrés
passionnants. Ceux que tu as aimés,
Dans
l’ombre, continuent le combat collectif.
Ta
détermination, pour le rôle effectif
De
l’Afrique dans le monde, est bien entendue
Et
écoutée. Le jour s’est levé pour ta joie
Parfaite.
Le pouvoir fuit le cheval de Troie :
Bientôt,
il sera un macchabée, étendu !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
26 juin 2011 – Lomé.
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