Tu es un paraclet, un trésor, un refuge
Dans la détresse. Ton bouclier m’a protégé
De la désolation, m’arrachant, agrégé
Des lettres, à l’horreur du chaos. Ô transfuge
De l’église noyée par la tyrannie, juge
Sévère de Mammon l’enfonçant dans l’Égée,
Je suis la cible des attaques, engagé
Littérairement pour la justice ! Grabuge
Avecque l’Éternel, cette scène effroyable
M’a saisi, élu pour réparer l’incroyable
Brèche ouverte ainsi par le système macabre.
Je suis ton serviteur, ton cocher, chevalier
Humble et solidaire, dérapant Duvalier
Et coparticipants, lion qui jamais ne cabre !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
13 avril 2018 – Lomé.
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