J’ai
prêté serment à Kara, devant l’idole
De
Faure Gnassingbé pour trouver mon emploi
De
commissaire de police qui me ploie
Comme
un roseau. Peureux, je fais la farandole
Pour
brimer mon oncle courageux qui gondole
Le
pouvoir ténébreux de ce tyran, déploie
Son
énergie à la Libération… Emploi
Imaginaire,
mon fauteuil maudit, rigole
Puant
l’oppression du peuple togolais,
M’a
enflé d’orgueil, vil objet du Beaujolais
Fripon !
J’ai perdu la guerre que j’ai lancée
Au
poète voyant, ô neveu misérable,
Piétinant
les siens par cupidité, érable
Coupé
de manière prématurée, Rancé !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
17 octobre 2019 – Cergy.
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