Tu m’as enveloppé de ton manteau, formant
Quadrature sans bruit. Tu m’as enveloppé
De ton manteau, portant ô ton frère à Coppet.
Tu m’as enveloppé de ton manteau, froment
Délicieux. J’ai trouvé près de toi l’agrément
Utile pour aller de l’avant. Tel Coppée,
J’avance, déroulant ma toile sans stopper
Mes convictions. Journal intime, ton sarment
S’attache au vrai cep pour me conduire à bon port.
Tu lèves ton bouclier chaque fois que le port
De Lomé me broie sans raison, échafaudant
Un radieux avenir. Sur le pré carré, ton
Discours sincère m’a apprivoisé, piéton
Heureux d’être compris en famille, sans dent !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
28 août 2016 – Lomé.
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