J’ai
fait du Panthéon la base de la chute
De
Faure Gnassingbé, célébrant ma victoire
Sur
sa dictature dans la cour, promontoire
D’un
pays asservi par son clan. Parachute
Doré,
piétinant son peuple révolté, pute
Insatiable,
gouffre adossé au consistoire,
Son
génocide l’a emporté du dortoir
Au
séjour des morts sans transition, sa lutte
Pour
pérenniser sa tyrannie, obsolète !
J’ai
frappé l’épervier au poitrail, ses mallettes
Remplies
d’or, de dollars devenues impuissantes.
J’ai
délié les langues bridées par la terreur
Du
père du dauphin hypocrite, l’erreur
Du
siècle, couronné injustement, passante !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
19 août 2019 – Cergy.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire