Je
parfais ma plume trempée au vitriol,
Aux
rayons de tes yeux lumineux, exaltant
Ton
courage inédit, ton attention maltant
Mon
chant du mal-aimé, élixir de Tyrol
Me
berçant constamment, enlevant ma vérole
À
jamais, restaurant ma sœur chue, asphaltant
Ma
route en étanchant ma grande soif, haltant
Les
boules de neige, l’avalanche du rôle
De
Vasthi, répondant fièrement aux questions
Du
tribun, butin de guerre, franche gestion
De
mon patrimoine usurpé par l’Occident,
Bouquet
de gentianes arrosées sans relâche,
Veillant
nuit et jour sur les frelons, sans attache
Avec
le veau d’or, mirage du dissident !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
7 août 2019 – Cergy.
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