« Achab, fils d’Omri,
régna sur Israël, la trente-huitième année d’Asa, roi de Juda. Achab, fils d’Omri,
régna vingt-deux ans sur Israël à Samarie. Achab, fils d’Omri, fit ce qui est
mal aux yeux de l’Éternel, plus que tous ceux qui avaient été avant lui. (…) et
il fit une idole d’Astarté. Achab fit plus encore que tous les rois d’Israël
qui avaient été avant lui, pour irriter l’Éternel, le Dieu d’Israël. (…) Élie,
le Thischbite, l’un des habitants de Galaad, dit à Achab : L’Éternel est
vivant, le Dieu d’Israël dont je suis le serviteur ! Il n’y aura ces
années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole. »
(1 Rois chapitre 16, versets 29 à 33, 1 Rois chapitre 17,
verset 1)
Je
mélange toujours salades/cabrioles,
Prenant
des décisions à l’aveuglette, main
Sur
la conscience, pour flatter les parchemins
De
Mayence, toit des banques qui me contrôlent :
Je
perds mon quinquennat, mon chaos, ma vérole,
Attachés
à mon cou roide, mes lendemains
Couverts
de ténèbres, ma soupe de cumin,
Une
noire gastro-entérite, frivole
Dans
les moindres détails, l’argent, mon mauvais maître,
Me
conduisant droit au térébinthe, diamètre
Désappointant
le duc de Bourgogne, le roi
D’Assyrie,
traçant ma courbe dans l’abreuvoir,
Ma
loi des finances défaite, mon devoir
Barbouillé
par le pion, l’hymne de l’interroi !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
29 avril 2020 – Villiers-sur-Marne.
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