« Au
chef des chantres. Hymne de David. Lorsqu’il se réfugia dans la caverne,
poursuivi par Saül. Aie pitié de moi, ô Dieu, aie pitié de moi ! Car en
toi mon âme cherche un refuge ; Je cherche un refuge à l’ombre de tes
ailes, Jusqu’à ce que les calamités soient passées. (…) Élève-toi sur les
cieux, ô Dieu ! Que ta gloire soit sur toute la terre ! »
(Psaumes
57, versets 1 à 11)
J’ai
frappé tous ceux qui s’appuient sur leur fortune
Pour
annihiler les êtres humains, servant
Le
diable et ses démons ! Méchants, leur paravent
Est leur gouffre amer, la honte de leurs communes,
La
malédiction de Tyr les suivant : chacune
De
leurs actions creuse leur tombeau, abrivent
Vide !
J’ai frappé leur descendance, privant
Leurs
grandes richesses d’héritiers, l’infortune
De
la maison d’Achab, attachée à leur cou
Roide !
J’ai bien frappé leurs idoles de coups
Secs,
les renvoyant sans caleçon, sans chaussures,
Objet
de sarcasmes, d’opprobre, leur risée
Constamment
devant le Roi des rois ! J’ai brisé
Leur
sceptre inique sans pitié, fait leur cassure !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
2 avril 2020 – Villiers-sur-Marne.
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