Ton
grand amour pour moi, ton oncle maternel,
Te
place sur l’ânon. En toi, ô ma confiance
Repose
! Pour l’éternité, toute chance
Te
sourit. Ma bénédiction, éternelle !
Mon
neveu, tu es bien mon fils sempiternel
La
gloire de ta mère aux flancs de ma présence.
Ô
tu distilles le miel en notre absence
Sans
perdre tout le goût aux instants paternels.
Ta
foi vise ton regard, regard fulgurant.
Ta
piété souligne tes accents percutants.
Ta
renommée inonde de grâce le Ciel.
Tes
parents, très qualifiés pour servir d’exemple,
Réconcilient
deux, quatre mondes aux cœurs amples,
Démasquent,
foudroient les esprits artificiels.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
12 mars 2007 – Lomé.
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