« Mais Jésus leur dit : Un prophète n’est
méprisé que dans sa patrie, parmi ses parents, et dans sa maison. »
(Marc chapitre 6, verset 4)
Je
veux impressionner le poète voyant
Avecque
ma force occulte… Potache, mon
Pouvoir
ténébreux est un sacrilège, mon
Orgueil,
un gouffre amer ! Feuillage verdoyant,
Mon
frère continue sa route, prévoyant
Plusieurs
désastres sans peur, seul dans les piémonts
À
agir avec ce toupet. Quant aux sermons
De
ma perdition, ils cachent, convoyant
Ma
mauvaise foi, mon fondement obséquieux,
Ma
fronde répétée, mes caprices odieux…
J’ai
perdu le regard bienveillant du prophète
Des
nations, l’aède du Roi des rois, prenant
La
mesure de mon hostilité. Bernant
Les
profanes, j’envie sa lumière, gaufrette !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
27 avril 2018 – Lomé.
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