J’ai
utilisé mon mariage pour me rendre
En
France, bafouant toujours l’autorité
De
mon mari qui s’est sacrifié pour moi. Thé
Vert
de Chine, honorant des impies, je vais rendre
L’âme
sans rémission, heureuse de méprendre
Les
serviteurs de Dieu ! Varech, j’ai abrité
L’esprit
de sirène, violente, karité
Fondant
sous les yeux des infâmes ! Pour prétendre
À la sainteté, je suis
la première : sans
Cor
ni cri, je tords le cou au sacré, mon sang
Chaud,
dévalant ainsi la pente ouvertement !
J’ai
mis fin à l’affront du cèdre, renvoyant
À vide Jézabel, sa
chanson, fourvoyant
Ses
émules ! Canon à eau, j’ai fait serment…
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
28 mars 2020 – Cergy.
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