J’allume
des bougies pour calmer mes ardeurs :
Ingénieur
télécom, je m’appuie sur culture
D’Haïti
pour bâtir le monde, quadrature
De
l’art en charmille ! Pylône, sans fadeur,
Je
rends heureux ceux qui m’entourent, leur tiédeur
Régénérée
par mon front exigeant, mouture
De
ma vie obsédée par le temps ! En pâture
Nuit
et jour, j’égrène le bonheur sans lourdeur
Sacrifice
vivant sur l’autel, attendant
La
providence pour honorer ascendants
Combatifs,
triomphant de l’oppression abjecte
Du
tiers-monde asservi par l’Occident fripon.
J’ai
attelé mon char à une étoile, pont
De
douceur qui relie la grâce aux architectes !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
9 novembre 2019 – Cergy.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire