J’ai congédié tous
les députés fatigués
De porter un joug
de fer au-dessus de leur
Écharpe. J’ai déjà
congédié la chaleur
Froide de leur
tampon vénéneux instigué
Par le majordome
agréé. J’ai irrigué
Leur champ au
sortir de leur prison sans valeur
Ajoutée. J’ai déjà
congédié le malheur
De leur habit
trempé d’ineptie et ligué
Contre eux. J’ai
congédié les députés peureux,
Vachement nourris
par un pouvoir sulfureux,
Bourreau du peuple
noir. J’ai congédié pinson
Et œillet sans tourner
le moteur, déraison
Et trône
chancelant légiférant ! Raison
Du plus fort,
j’établis Sion dans la chanson.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
21 août 2014 – Lomé.
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