J’ai laissé mon
pays dans le délabrement
Pour dépenser une
fortune aux Nations-
Unies, espérant
leur grande protection
Pour tyranniser
sans fin mon peuple. Dément,
Mon acte plafonne
la honte éperdument,
Célébrant l’oppression
aux dépens des nations
Que je dois
protéger. Égoïste, ma passion
D’opprimer mes
frères/sœurs rend leur dénuement
Très fécond tandis
que je cours vers l’échafaud.
J’ai trompé le
monde entier avec un chant faux,
Guillotinant mes
compatriotes épris
De liberté. J’ouvre
une brèche du Levant
Pour absoudre
crime crapuleux, décevant
Dirigeant. Mon
double parcours reçoit ce prix.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
08 août 2014 – Lomé.
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