« Écris à l'ange de l'Église
de Philadelphie: Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef
de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne
n'ouvrira: Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, et
que tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas renié mon nom, j'ai mis devant
toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer. Voici, je te donne de ceux
de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui
mentent; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que
je t'ai aimé. Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te
garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour
éprouver les habitants de la terre. »
(Apocalypse chapitre 3, versets 7 à 10)
J’ai
été piétiné par Féli et consorts
Trente
ans, ne devant mon salut qu’à mon voyage
En
France : chenapan, il a pris en otage
Ma
famille, faisant des libations, le sort
De
ses frères et sœurs, égal, dans son ressort
Rien
que lui ; j’ai défait sciemment son embrayage
Ténébreux,
son château de cartes, en jambage
Pour
Épire, son toit orgueilleux, son essor
D’escroc
scellé, méchant garnement, refusant
Le
rachat du péché, mon cantique fusant
De
partout déchante son quartier général,
Tourné
vers Astarté, épreuve difficile
Pour
un sorcier, débat loufoque à un concile,
Ma
foi transcendant son rideau de fer, ses râles !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
3 août 2020.
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