« Cantique des degrés. De
Salomon. Si l'Éternel ne bâtit la maison, Ceux qui la bâtissent travaillent en
vain; Si l'Éternel ne garde la ville, Celui qui la garde veille en vain. En
vain vous levez-vous matin, vous couchez-vous tard, Et mangez-vous le pain de
douleur; Il en donne autant à ses bien-aimés pendant leur sommeil. Voici, des
fils sont un héritage de l'Éternel, Le fruit des entrailles est une récompense.
Comme les flèches dans la main d'un guerrier, Ainsi sont les fils de la
jeunesse. Heureux l'homme qui en a rempli son carquois! Ils ne seront pas
confus, Quand ils parleront avec des ennemis à la porte. »
(Psaumes chapitre 127, versets 1 à 5)
Ali
Bongo mourant devant les francs-maçons :
Flibustier,
voix du Gard, j’opprime sans façon
Les
Togolais épris de liberté, lacets
Du
colon rondouillet ; dictateur cétacé,
Je
crois que j’ai gagné la guerre, limaçon
Tournant
sur place, mon fût vidé, ma leçon
Jamais
apprise, ma tyrannie, panacée,
Un
couteau à double tranchant, me persécute,
Ma
prostitution vermoulue m’exécute
Comme
un condamné à mort, traître rétrograde,
Livrant
notre Afrique aux bourreaux, faisant l’agneau
Devant
nous, loup-garou, démontant les signaux
Du
bonheur de mes sœurs et frères qu’on dégrade !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
19 août 2020.
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