« L'élite d'Israël a
succombé sur tes collines! Comment des héros sont-ils tombés? Ne l'annoncez
point dans Gath, N'en publiez point la nouvelle dans les rues d'Askalon, De
peur que les filles des Philistins ne se réjouissent, De peur que les filles
des incirconcis ne triomphent. Montagnes de Guilboa! Qu'il n'y ait sur vous ni
rosée ni pluie, Ni champs qui donnent des prémices pour les offrandes! Car là
ont été jetés les boucliers des héros, Le bouclier de Saül; L'huile a cessé de
les oindre. Devant le sang des blessés, devant la graisse des plus vaillants,
L'arc de Jonathan n'a jamais reculé, Et l'épée de Saül ne retournait point à
vide. Saül et Jonathan, aimables et chéris pendant leur vie, N'ont point été
séparés dans leur mort; Ils étaient plus légers que les aigles, Ils étaient
plus forts que les lions. Filles d'Israël! pleurez sur Saül, Qui vous revêtait
magnifiquement de cramoisi, Qui mettait des ornements d'or sur vos habits. »
(2 Samuel chapitre 1, versets 19 à 24)
J’ai
donné le surnom le plus prestigieux
À
mon frère Massow (apôtre des élèves)
L’encourageant
dans sa vocation, la relève
De demain,
occupant son esprit : litigieux,
Son combat vital
pour le repos, judicieux,
Avait émoussé mes
ardeurs, lorsque j’enlève
Au poète voyant
mon soutien ; je prélève
Le bénéfice de
son appel audacieux,
Mon moteur
tournant à plein régime, à l’orée
Du ciel immaculé,
le son des chicorées
M’enchantant
toujours dans l’au-delà, mon royaume
S’élevant
au-dessus du peloton, marée
Haute ébiselant
ma nation, amarrée
Sciemment à ses
bourreaux, a contrario le heaume !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
1er août 2020.
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