J’ai
trouvé à Cergy plus qu’une forteresse,
Mon
paradis perdu, le porche magistral
De
mon œuvre épique, le chemin du mistral,
Ma
maison d’adoption, où mon chant d’allégresse
S’épanche,
se répand au son de la vanesse
À
travers le monde. Autobiographe astrale,
Je
puise dans ma vie la sève gutturale
Qui
épanouit mes récits. Avec adresse,
J’ai
bâti une tour forte, témoin d’un temps
Exceptionnel.
Avant-garde huppée du printemps
Des
quetzals, j’exerce sur notre société
Une
influence de choix, célébrant l’intime
Sur
une planète verrouillée à Kittim,
Femelle
de l’aigle, triomphant de l’été.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
2 février 2019.
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