J’envoie
le marteau au capitaine trouillard
Qui
tua son ami lâchement pour le trône.
Renégat,
il parcourt l’univers et détrône
Les
dirigeants forts dans le combat. Boulevard
De
Paris, il fait le sale boulot, buvard,
Fauchant
l’élite de l’Afrique qui détone.
Serpent
venimeux, faux dévot, poltron, il prône
La
dépendance du continent noir, gaillard
Devant
nous, torchon près des colons. Scélérat
Vacillant,
se moquant des justes, ce malfrat
Magyar
a décimé la sous-région, pituite,
Arborant
son maudit butin, sacrifié par
Son
infamie. Condor en chute, ses remparts
L’engloutissent
au son de la marée, vieille truite !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
22 juillet 2013 – Lomé.
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