J’ai
déjà transféré les cendres de Simone
Veil
au Panthéon, lui permettant une gloire
Posthume
insondable, près de son mari, Loire
Gaulois,
Tibre latin ! Hier, je m’époumone
À
exalter sa vie de combat, anémone,
Ministre
exemplaire, siégeant au consistoire
Après
le parlement européen, victoire
De
tous les déportés des camps ô qui sermonnent
Le
régime nazi qui, flairant le danger,
A
livré la stèle à l’opprobre, à l’étranger,
Dépouillant
la France insoumise de ses filles
D’honneur,
réduisant au silence une fleur fine,
Pionnière,
gage d’une aventure fine,
Délivrant
les femmes opprimées qu’on houspille !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
3 juillet 2018 – Lomé.
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