J’ai
frappé Tyr, le clou enfoncé dans la mer
Par
surprise, prenant d’assaut sa forteresse.
J’ai
renversé tous ses remparts, dans la détresse,
Opérant
avec tact, sous-marin de la mer
De
Chine. J’ai porté le manteau du calvaire
Pour
tirer les coups, en harmonie, ma tendresse
En
veilleuse un instant. J’ai défait son altesse
Avec
la parole, m’appuyant sur l’austère
Climat
provoqué par l’attaque de la nuit.
Arquebusier
veillant sur ma patrie, minuit,
J’ai
détruit l’oppresseur, depuis la fondation,
Faisant
écrouler tout l’édifice, chargeant
Le
sang de l’agneau de déterrer le régent
Et
sa clique, sans bruit, finissant prédation !
Ananivi
Hosé KOUDOUOVOH
2
avril 2018 – Lomé.
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