« Si le Seigneur ne construit pas la maison,
les maçons travaillent pour rien ! Si le Seigneur ne garde pas la ville, le
gardien la garde pour rien ! Pour rien, vous vous levez très tôt, pour rien,
vous vous couchez très tard, et pour rien, vous vous fatiguez à gagner votre
nourriture. Le Seigneur en donne autant à son ami très cher pendant qu’il dort.
Mais oui, les enfants sont un trésor, la récompense donnée par le Seigneur. Les
fils qu’un père reçoit dans sa jeunesse sont comme des flèches dans la main
d’un combattant. Il est heureux, l’homme qui a rempli sa maison de telles armes
! Quand il se défendra contre ses ennemis aux portes de la ville, il ne sera
pas couvert de honte. »
(Psaumes chapitre 127, versets 1 à 6)
J’ai
tripatouillé les élections pour garder
L’enfant
roi au pouvoir : je protège toujours
Mes
biens mal acquis, mon oppression, abat-jour
Qui
détruit mon pays ; je voudrais regarder
Vers
les montagnes mais le secours – attardé –
Vient
de l’Éternel qui établit chaque
jour
L’homme
selon son cœur : j’appauvris tout Vaujours,
L’oligarchie
qui me soutient très canardé ;
L’Union
Populaire continue son chemin,
Brûlant
les oripeaux partout, son parchemin,
Restaurant
toutes les communes ravagées
Par
mon joug de fer que le poète voyant
A
brisé consciemment ; conducteur malvoyant,
J’ai
perdu la guerre, doberman enragé !
Marcel KOUDOUOVOH
12 avril 2022 – Paris.
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