« Personne ne peut servir deux maîtres. En effet, ou bien il détestera
l’un et il aimera l’autre, ou bien il sera fidèle à l’un et il méprisera
l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent ! » Dieu donne
tout ce qui est nécessaire à la vie « C’est pourquoi je vous dis : ne vous
faites pas de souci pour votre vie ni pour votre corps. Ne vous demandez pas :
“Qu’est-ce que nous allons manger ? Avec quoi est-ce que nous allons nous
habiller ?” Oui, votre vie est plus importante que la nourriture, et votre
corps est plus important que les vêtements. Regardez les oiseaux. Ils ne sèment
pas, ils ne moissonnent pas. Ils ne mettent pas de récoltes dans les greniers.
Et votre Père qui est dans les cieux les nourrit ! Vous valez beaucoup plus que
les oiseaux ! « Ce n’est pas en vous faisant du souci que vous pouvez ajouter
un seul jour à votre vie ! Pourquoi alors vous faire du souci pour les
vêtements ? Observez les fleurs des champs, regardez comment elles poussent.
Elles ne filent pas et elles ne tissent pas. Pourtant, je vous le dis : même
Salomon, avec toute sa richesse, n’a jamais eu de vêtements aussi beaux qu’une
seule de ces fleurs. L’herbe est aujourd’hui dans les champs, et demain on la
jettera au feu. Et pourtant, Dieu l’habille de vêtements magnifiques. Vous qui
n’avez pas beaucoup de foi, vous pouvez être sûrs d’une chose : Dieu en fera au
moins autant pour vous ! « Ne soyez pas inquiets en vous demandant : “Qu’est-ce
que nous allons manger ? Qu’est-ce que nous allons boire ? Avec quoi est-ce que
nous allons nous habiller ?” En effet, les gens qui ne connaissent pas Dieu
cherchent tout cela sans arrêt. Vous avez besoin de toutes ces choses, et votre
Père qui est dans les cieux le sait bien. Cherchez d’abord le Royaume de Dieu
et ce que Dieu demande. Il vous donnera tout le reste en plus. « Donc, ne vous
faites pas de souci pour demain. Demain se fera du souci pour lui-même. La
fatigue d’aujourd’hui suffit pour aujourd’hui ! »
(Matthieu chapitre 6, versets 24 à 34)
Je
suis l’otage de la famille Rothschild :
Esclave
frétillant, j’obéis à leurs ordres,
Méprisant
les Français démunis, mon désordre,
Un
hâle safrané ; je suis un peace child
Qui
fait la guerre à crédit partout, les Rothschilds
Qui
m’ont intronisé me surveillent pour tordre
Le
cou aux lois de la République, pour mordre
La
poussière comme une vipère dans Bild ;
Je
suis l’otage de la famille Rothschild,
Ces
banquiers odieux qui m’outragent : peace child,
À
quatre pattes, ils m’enculent, mon domaine
Un
château de cartes ; je suis l’otage de
La
famille Rothschild : roi lépreux, cafardeux,
Je
suis fatigué du joug de fer œcoumène !
Ananivi
Hosé KOUDOUOVOH
23
avril 2022 – Paris.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire