« Quand
le roi Ézékias a entendu ces paroles, il a déchiré ses vêtements, il a mis un
habit de deuil et il est allé au temple du Seigneur. Il a envoyé Éliaquim, le
chef du palais, le secrétaire Chebna et les prêtres les plus âgés chez le
prophète Ésaïe, fils d’Amots. Ces hommes portaient aussi un habit de deuil. Ils
devaient communiquer au prophète ces paroles d’Ézékias : « Aujourd’hui, c’est
pour nous un jour de grande inquiétude, de punition et de honte. On le dit,
l’enfant est prêt à naître, mais sa mère manque de force pour accoucher. Le roi
d’Assyrie a envoyé son officier supérieur pour insulter le Dieu vivant. Si
seulement le Seigneur ton Dieu pouvait entendre ces insultes et le punir pour
ce qu’il a dit ! Toi, Ésaïe, prie le Seigneur pour ceux de ton peuple qui sont
restés en vie. » Les envoyés du roi Ézékias sont allés voir Ésaïe. Celui-ci
leur a dit : « Vous porterez à votre maître ce message du Seigneur : Tu as
entendu les insultes que les officiers du roi d’Assyrie ont lancées contre moi.
N’aie pas peur de ce qu’ils ont dit. Leur roi va apprendre une nouvelle. Je
vais alors lui donner l’idée de retourner dans son pays, et là-bas je le ferai
mourir par l’épée. »
(Ésaïe chapitre 37, versets 1 à 7)
J’ai
mis fin à la monarchie présidentielle
D’Emmanuel
Macron, bras de l’oligarchie
Qui
asservit toute la France : notre archi-
Duc
s’en va chancelant, son pouvoir démentiel
Entièrement
détruit, l’usage artificiel
Du
trésor public à l’échafaud ; Karachi
Refait
surface, le potentat avachi,
Livré
au trône de grâce, sa séquentielle
Aux
rats et aux chauves-souris ; ô j’ai mis fin
À
la monarchie du président Macron, fin
Casseur
des ménages, ployant les étrangers,
Méprisant
les Français démunis, sa ration
Aux
usurpateurs qui le bercent, ma nation
Écrasée
par son froc qui broie les orangers !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
8 avril 2022 – Cergy.
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